Désormais, vous pouvez accéder à Radio Balances depuis ZEturf. Vous ne connaissez pas encore ? Vous voulez en savoir plus sur ce média « pas comme les autres » dans sa manière de traiter l’information hippique ? J’ai interviewé Guillaume Covès, créateur du concept. A lire… Avant d’écouter. Même si Radio Balances compte 15 000 fidèles qui écoutent chaque émission sur le net, peut-être découvrez-vous seulement ce média, cette radio en dehors des ondes mais si proche de l’écume des chevaux. La meilleure façon est encore de suivre le guide, à savoir son créateur, Guillaume Covès. « Nous avons créé Radio Balances il y a 6 ans, au départ pour un mois. L’idée était d’occuper le meeting de Deauville avec un podcast sur les courses. Cela de manière détendue, dans la convivialité d’un établissement dont je connaissais le patron, avec une équipe de départ composée de moi-même, Emmanuel Roussel, Bernard de Croix et Olivier Thomas. Dans l’émission, nous revenons sur les événements de la semaine écoulée en les commentant, et évoquons le programme à venir sous la forme de pronostics. L’esprit est à l’ouverture, à la polémique. L’idée était un peu de refaire l’ancienne émission de Michel Polac Droit de Réponse en version hippique, avec des avis contradictoires. Une fois le mois à Deauville terminé, nous nous sommes dit que l’on pourrait continuer à Paris. Nous nous installons donc tous les vendredis soirs dans un restaurant parisien, avec en prime par rapport au projet initial des interventions dans l’émission de professionnels, qui soit viennent avec nous au restaurant, soit nous répondent par téléphone. »

Un partenariat avec ZEturf

Au passage, l’équipe des polémistes s’est étoffé avec des journalistes hippiques reconnus tels Gilles Barbarin, Vincent Lahalle, Sébastien Darras, Sébastien Moureaux… L’émission est donc retransmise telle quelle (« sans coupe dans le montage, précise Guillaume Covès, uniquement en cas de dérapage trop fort lors d’un échange ayant suivi l’apéritif »), et accessible sur le net dès le vendredi soir. Les émissions les plus suivies sont celles se déroulant pendant le meeting d’hiver de Vincennes (et bien sûr celle du prix d’Amérique, avec de très nombreux invités parmi les professionnels), mais Radio Balances n’oublie pas ses débuts à Deauville et a d’ailleurs donné son nom à un prix se courant sur l’hippodrome de Clairefontaine, le prix Radio Balances, une Listed (qui aura lieu le 13 août 2012 cette année, autrement appelée prix Luth Enchantée). L’accord avec ZEturf est récent, il n’en est pas moins sincère. « Je pense que nous avons un peu le même esprit, commente encore Guillaume Covès. Nous ne nous mettons pas de barrières. » Très prochainement, l’un ou l’autre journaliste de ZEturf devrait participer à Radio Balances (au passage, j’espère que vous avez apprécié le jeu de mots du nom, qui rappelle les balances comme instrument essentiel du paddock, mais aussi la vocation de la ligne rédactionnelle de l’émission, qui consiste à « balancer »). Mais Guillaume Covès va plus loin : « Et pourquoi pas inviter un joueur de ZEturf une fois de temps en temps ? » Pourquoi pas en effet. Là, c’est sûr, l’heureux Z’élu risque de s’en souvenir… Cet article vous a plu ? D’autres articles sont disponibles sur le blog www.zegagnant.com."/>
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Actualités hippiques

Radio Balances, le rendez-vous des passionnés et des polémistes

27/06/2012

 

Désormais, vous pouvez accéder à Radio Balances depuis ZEturf. Vous ne connaissez pas encore ? Vous voulez en savoir plus sur ce média « pas comme les autres » dans sa manière de traiter l’information hippique ? J’ai interviewé Guillaume Covès, créateur du concept. A lire… Avant d’écouter.

Même si Radio Balances compte 15 000 fidèles qui écoutent chaque émission sur le net, peut-être découvrez-vous seulement ce média, cette radio en dehors des ondes mais si proche de l’écume des chevaux. La meilleure façon est encore de suivre le guide, à savoir son créateur, Guillaume Covès.

« Nous avons créé Radio Balances il y a 6 ans, au départ pour un mois. L’idée était d’occuper le meeting de Deauville avec un podcast sur les courses. Cela de manière détendue, dans la convivialité d’un établissement dont je connaissais le patron, avec une équipe de départ composée de moi-même, Emmanuel Roussel, Bernard de Croix et Olivier Thomas. Dans l’émission, nous revenons sur les événements de la semaine écoulée en les commentant, et évoquons le programme à venir sous la forme de pronostics. L’esprit est à l’ouverture, à la polémique. L’idée était un peu de refaire l’ancienne émission de Michel Polac Droit de Réponse en version hippique, avec des avis contradictoires. Une fois le mois à Deauville terminé, nous nous sommes dit que l’on pourrait continuer à Paris. Nous nous installons donc tous les vendredis soirs dans un restaurant parisien, avec en prime par rapport au projet initial des interventions dans l’émission de professionnels, qui soit viennent avec nous au restaurant, soit nous répondent par téléphone. »

Un partenariat avec ZEturf

Au passage, l’équipe des polémistes s’est étoffé avec des journalistes hippiques reconnus tels Gilles Barbarin, Vincent Lahalle, Sébastien Darras, Sébastien Moureaux… L’émission est donc retransmise telle quelle (« sans coupe dans le montage, précise Guillaume Covès, uniquement en cas de dérapage trop fort lors d’un échange ayant suivi l’apéritif »), et accessible sur le net dès le vendredi soir. Les émissions les plus suivies sont celles se déroulant pendant le meeting d’hiver de Vincennes (et bien sûr celle du prix d’Amérique, avec de très nombreux invités parmi les professionnels), mais Radio Balances n’oublie pas ses débuts à Deauville et a d’ailleurs donné son nom à un prix se courant sur l’hippodrome de Clairefontaine, le prix Radio Balances, une Listed (qui aura lieu le 13 août 2012 cette année, autrement appelée prix Luth Enchantée).

L’accord avec ZEturf est récent, il n’en est pas moins sincère. « Je pense que nous avons un peu le même esprit, commente encore Guillaume Covès. Nous ne nous mettons pas de barrières. » Très prochainement, l’un ou l’autre journaliste de ZEturf devrait participer à Radio Balances (au passage, j’espère que vous avez apprécié le jeu de mots du nom, qui rappelle les balances comme instrument essentiel du paddock, mais aussi la vocation de la ligne rédactionnelle de l’émission, qui consiste à « balancer »). Mais Guillaume Covès va plus loin : « Et pourquoi pas inviter un joueur de ZEturf une fois de temps en temps ? »

Pourquoi pas en effet. Là, c’est sûr, l’heureux Z’élu risque de s’en souvenir…