Pris de vitesse au début, et longtemps en retrait décollé, le fils de Polarix a terminé dans une belle action, isolé en dehors, prouvant qu'il valait mieux que son timide début de carrière. Pourrait rapidement trouver son jour dans les handicaps.
Eric Domanche
Analyse de la réunion 4 le 13/04/2022 à CHANTILLY
Mal sorti de sa stalle de départ, le fils de Frankel a chassé derrière le peloton, puis les quatre premiers, prolongeant son effort aux bras, pour obtenir une timide mais méritoire quatrième place. En s'élançant plus promptement, il devrait rapidement remettre les pendules à l'heure !
Eric Domanche
Attendant dans la 2nde moitié du peloton, cet hongre âgé de six ans a dû longtemps ''prendre son mal en patience'' avant de pouvoir s'allonger puis a bien terminé, en dedans, venant s'emparer de la 5ème place, dans les derniers mètres de course. A suivre de près en vue de ses prochaines tentatives à ce niveau !
Pascal Rodon
Attendant son heure dans la 2nde moitié du peloton, la partenaire de Stéphane Pasquier a longtemps dû patienter avant de trouver le passage, à moins de deux cents mètres du but, puis a bien terminé, s'octroyant sûrement l'accessit d'honneur. De bon augure !
Pascal Rodon
Vite sur la ligne de tête, le pensionnaire d'André Fabre a été incapable de changer de vitesse dans les deux cents derniers mètres. A revoir !
Eric Domanche
En 5ème, 6ème position, le long de la corde, ce représentant de l'entraînement d'Anne-Sophie Crombez a été sollicité de bonne heure, s'avouant rapidement dominé et ne se montrant jamais véritablement dangereux pour les 1ers concurrents classés (seulement 6ème, en retrait). A reprendre !
Pascal Rodon
Attentiste au contact des concurrents de tête, ce fils de Shalaa n'a pu faire mieux que de boucler le parcours à sa main, à la 7ème place. Décevant !
Pascal Rodon
Contrainte de galoper à flanc de peloton, en 4ème position, dans une épreuve menée à un train régulier, cette élève d'André Fabre n'a pu se relancer, dans la phase finale, cédant pour finir (6ème au passage du poteau). A revoir !
Pascal Rodon